CHAPITRE 13 :

LES LITTORAUX MARITIMES, DES TERRITOIRES ATTRACTIFS

  • Littoral :
    • correspond au trait de côte, c’est à dire la ligne de contact entre terre et mer.
    • cette ligne est plus souvent une zone plus ou moins large, un espace compris entre le niveau connu des plus hautes et des plus basses marées : l’estran.
    • l’influence réciproque de la terre et la mer créé sur une profondeur variable en arrière du trait de côte des écosystèmes spécifiques (lagunes, marais, estuaires) et des environnements économiques et sociaux particuliers.
    • selon la loi littoral : 885 communes en bord de mer ou de lagunes + 87 communes estuariennes (en aval de la limite de salure des eaux) + immédiat arrière-pays s’il subit des transformations du fait de sa proximité avec les littoraux (1179 communes).
  • 5853 km de côte maritime / 12 602 km de linéaire côtier de l’outre mer / ZEE, 10% pop / 4,4% du territoire.
  • Paradoxalement notre pays est peu polarisé par les côtes (héritage historique et ancrage dans la mondialisation davantage tourné vers l’intégration européenne).
  • Croissance du bâti et des équipements, conflits d’usages ++.
  • Diversité des littoraux : côtes rocheuses, sableuses, caps, baies, lagunes, marais maritimes ou estuaires.
  • hétérogénéité des usages et des densités d’occupation (Haute Corse : 93% milieux naturels non artificialisés, Alpes-maritimes : 98% d’urbanisation).

I.                  Un territoire modestement littoralisé

A.                L’héritage d’un pays peu tourné vers la mer.

1.                 Des logiques continentales historiquement dominantes

Les Clionautes multi-écran

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