Il y aurait beaucoup à dire sur la qualité de présentation et de mise en page, sans parler de la reprographie des deux premiers sujets qui nous sont parvenus.
On a très clairement le sentiment qu’il s’agit d’un travail fait à la va-vite, avec une paire de ciseaux et un tube de colle, le tout mal positionné sur la vitre d’un photocopieur défaillant.
Cela constitue une façon peut-être d’habituer les futurs lauréats à l’austérité dans laquelle ils vont devoir se débattre, à moins que, au vu de la question du concours en histoire contemporaine qui traite des années 50, on ait souhaité donner au sujet une petite allure vintage.
Peu importe, il faut s’habituer à ce que les professeurs d’histoire et de géographie soient des guerriers, capables de travailler comme on le précise dans la nomenclature militaire « en environnement dégradé ».
En attendant, tous les contributeurs, quel que soit leur état de dégradation, sont les bienvenus, et peuvent déposer les sujets qu’ils peuvent se procurer, et bien entendu, cerise sur le gâteau, proposer des pistes de réflexion à l’ensemble des candidats des Clionautes.
Bon courage à tous.
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